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Connaissez-vous réellement ces hommes qui ont collaboré au cours de la Seconde Guerre mondiale?
Alors que l’histoire de Pétain et du gouvernement de Vichy est connue de tous, celles qui dépassent les frontières françaises restent, elles, obscures dans les esprits. Quels sont ces hommes, oubliés de tous, qui ont fraternisé avec l’ennemi ? – En Angleterre, Édouard VIII, en raison de ses sympathies nazies, fut envoyé aux Bahamas comme gouverneur ; – À Jérusalem, le grand mufti mit sur pied la SS musulmane ; – En Lettonie, Viktor Arajs extermina la moitié des juifs de son pays ; – Au Vatican, le pape Pie XII se tut alors qu’il savait ; – Les banques, en Suisse, ternirent leur réputation – non elles n’étaient pas neutres ; – L’IRA lança une campagne d’attentats en Angleterre, soutenue par l’Allemagne nazie ; – En Wallonie, Léon Degrelle soutint corps et âme Hitler, allant jusqu’à déclarer être le fils que le Führer aurait voulu avoir. La liste est bien plus longue : le Hollandais Anton Adriaan Mussert, le Flamand Staf de Clercq ou encore le Norvégien Quisling... Ils sont nombreux, ceux qui ont « tendu la main » au dictateur allemand. D.-C. Luytens dresse le portrait de ces hommes qui, bien souvent, ont été étouffés par les Histoires nationales.
Un ouvrage qui vous permettra de connaître davantage les raisons qui ont encouragé les collaborationnistes à soutenir l'idéologie hitlérienne.
A PROPOS DE L'AUTEUR :
Daniel-Charles Luytens est conférencier et un véritable chercheur de terrain. Les découvertes faites lors de ses investigations servent à alimenter ses nombreuses conférences. Devant le succès de celles-ci, il passe aujourd'hui à l'écriture.
EXTRAIT :
En 1936, le roi d’Angleterre Édouard VIII renonce au trône pour épouser une Américaine deux fois divorcée, Mrs Wallis Simpson. Cependant, c’est seulement depuis quelques années que l’on sait que le roi n’a pas renoncé au trône par amour, mais à cause de ses sympathies pour le régime nazi. Édouard VIII quitte le trône pour épouser celle qu’il aime et laisse la place à son frère qui devient George VI. Ce couple deviendra mythique, comme on en rencontre dans les légendes anciennes. Mais oublions donc ce conte de fées. Il faut savoir que Wallis et Édouard ont eu des liens étroits avec les nazis et les fascistes et que les Services britanniques vont s’efforcer d’en effacer les traces. Wallis Simpson est mariée à un richissime Américain, Ernest Simpson. Wallis est soupçonnée d’espionner pour le compte des nazis, depuis qu’elle est entrée dans la vie d’Édouard. Ses faits et gestes sont surveillés, son passé est bien connu des services de renseignements britanniques. En 1925, lorsqu’elle rejoint en Chine son premier mari, un militaire américain, elle fréquente une maison close où l’on pratique des massages et où l’érotisme n’est pas absent… tout comme l’espionnage, d’ailleurs. Tout ce qu’elle apprendra dans ces maisons particulières, Wallis le mettra à profit pour gravir les échelons de la hiérarchie des courtisanes. Elle sera mise en contact avec des diplomates, dont le comte Ciano, le futur gendre de Mussolini, qui fut son premier flirt avec le fascisme. Un an plus tard, en 1926, elle rentre aux États-Unis pour divorcer. Puis, elle cherche un nouveau mari, de préférence riche. Elle rencontre à Paris Ernest Simpson. Elle l’épouse et le suit en Angleterre. C’est lui qu’elle va quitter pour Édouard.