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Pendant plus de vingt ans, avoir dit d’un élève qu’il était « en difficulté » a jeté un voile pudique sur les difficultés de l’école. L’élève portait sur lui tout le poids de l’incompréhension : on lui proposait généreusement des heures de « soutien » qui devaient réparer ce dont il s’était rendu victime en ne comprenant pas tout de suite ce qui lui était proposé. Or les données internationales sont sans ambiguïté : le niveau en mathématiques des jeunes français décroît depuis plusieurs années. Ils sont de plus en plus nombreux, à l’issue de l’école primaire, à ne pas maîtriser les opérations fondamentales et, devenus adultes, à souffrir d’« innumérisme », le pendant mathématique de l’illettrisme. Pourtant, les réformes actuelles des programmes n’envisagent nullement de repenser la pédagogie…Pour combattre cet état de fait, Stella Baruk propose de remettre au cœur des apprentissages la compréhension de la langue mathématique. Et si, pour cela, on commençait par le commencement, c’est-à-dire par redonner du sens aux chiffres ?