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Au XIXe siècle, lois et juges condamnèrent au bagne empoisonneuses, violeurs, assassins et avorteuses, mais aussi faussaires, vagabonds, bigames et voleurs. Cet univers aux portes de l’enfer abritait ainsi, pêle-mêle, monstres sanguinaires et petits malfaiteurs, êtres immondes et misérables mendiants, épaves irrécupérables et simples filous. Après s’être livré à de minutieuses recherches, l’auteur livre ici les secrets des prisons de Montélimar, Valence, Montpellier et dépeint l’horreur des bas-fonds du bagne portuaire de Toulon, ainsi que des bagnes coloniaux de Guyane et Nouvelle-Calédonie. À travers huit récits, abondamment illustrés, il décrit la vie authentique et fabuleuse d’une centaine d’hommes et de femmes qui, pour des crimes abominables : parricide ou viol de fillette, comme pour des infractions mineures : vol de pain ou faux en écriture, furent condamnés aux travaux forcés à temps ou à perpétuité. Un index alphabétique de 1400 noms recense villes, villages, quartiers, hameaux, et personnages de ces drames qui, tous, se déroulèrent au cœur de la Drôme provençale de jadis. Dans ce pourrissoir humain qu’était le bagne, où régnaient corruption, brutalité, alcoolisme et pédérastie, ces forçats connurent humiliation, souffrance, désespoir et mort. Pour eux, la guillotine eut été plus douce.