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Un météore est passé dans la campagne présidentielle… Vibrionnant, pétaradant, le sémillant Jack Lang annonçait sa candidature le 18 janvier. Et le 25, la retirait. Martyr sacrifié à la cause du Parti socialiste, celui qui, en douze ans, a cumulé plus de portefeuilles qu’aucun ministre depuis que la République existe, s’effaçait avec une discrétion de violette – qu’à vrai dire on lui connaît bien peu… Celui qui nous a vendu la « mitterrandolâtrie » mieux qu’un paquet de lessive voudrait-il nous la jouer discrète ? Que cachent, tout d’un coup, les airs patelins du maire de Blois, ces discours melliflus ? Les paillettes et les strass ne suffiraient-ils plus pour compter en politique ? À moins qu’un bruit de casseroles venu de la rue de Valois – souvenir d’un temps où le ministre de la Culture signait d’une main ce que le maire empochait de l’autre – ne soit venu brusquement contrarier l’avenir de Lang de Blois… Croire que va s’en tenir là celui qui, dans ce monde si sélect de la « gauche caviar » représente surtout le courant caviar, serait mal le connaître ! Mais au fait, qui est donc Jack Lang ?