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“Les tableaux s’expliquent d’eux-mêmes. Ils proposent un monde où l’on n’a qu’à se plonger”. Ainsi parle Leonor Fini, qui ajoute : “Il est difficile de comprendre une œuvre. Il faut la laisser agir, fasciner ou répugner. Le spectateur doit se laisser aller à contempler, à subir si on veut et, s’il est attiré, appelé par un tableau, c’est que là, il y a un élément qui existe en lui (une sensation, une présence, un souvenir), peut-être intraduisible en mots. Aussi bien n’est-ce pas d’explication qu’il s’agit ici, écrit Xavière Gauthier, mais simplement de poser quelques points de repère, quelques jalons, qui seront, je l’espère, autant de points d’égarement. Si je déroule un fil d’Ariane à travers les labyrinthes finiens, obscurs et mystérieux, ce n’est pas pour guider le lecteur-spectateur vers la sortie, le grand jour, mais bien pour le livrer tout vif au Minotaure qui est à l’œuvre, paisible et menaçant, au centre de toutes les toiles de Leonor Fini.