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L’unité républicaine ne saurait se réaliser aux dépens de la diversité culturelle de la nation. À cet égard, un enseignement du fait religieux est nécessaire. Pourquoi donc ce projet a-t-il pu être présenté comme un événement considérable, alors qu’il consiste simplement à approfondir un thème d’étude déjà abordé à l’école publique ? Pourquoi est-il parfois décrit comme requérant une évolution voire une transformation de la laïcité, alors que l’étude du fait religieux dans les disciplines scolaires n’est en rien incompatible avec la laïcité ? Pour répondre à ces questions, cet ouvrage fait apparaître la pluralité des objectifs en jeu : transmission de connaissances, éducation à la tolérance, valorisation de la croyance religieuse, travail sur des questions existentielles… Si cette indétermination peut constituer un atout, l’auteur plaide pour une clarification : faut-il renoncer à une conception républicaine de la laïcité et s’adapter à une supposée « laïcité européenne » ?