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À titre d’hypothèse, pour Dominique Depenne, Michel Chauvière et Martine Trapon, le travail social peut être considéré comme l’enfant sauvage de l’État social. Pourtant, malgré des difficultés régulières de compréhension et de formation, tant du côté des métiers que de celui des pouvoirs publics, ce travail social-là a su s’institutionnaliser, s’imposer, durer et même résister aux aléas du temps. Au travers des contributions qui composent cet ouvrage, les trois auteurs cherchent à percer cette intrigue. La première analyse la contradiction de l’éthique égalitaire et de l’État, fût-il social. La deuxième cherche à comprendre en substance le « social en actes », au travers des différentes séquences de sa mise en œuvre. La troisième, en s’aidant d’une comparaison avec l’activité cinématographique, aborde les enjeux de représentations et d’outillage de l’intervention professionnelle. Enfin, dans une quatrième partie commune, ils s’interrogent sur ce qu’institution veut dire, en termes de support et d’éthique, tant est préoccupante la vague actuelle de désinstitutionnalisation.