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Quand et comment le concept d’un enseignement public assuré par l’État est-il apparu, dans quelles circonstances l’institution elle-même est-elle née, quel rôle positif peut-on considérer qu’elle a joué pendant des décennies ? Et quel étrange accident lui est-il arrivé vers le milieu du XXe siècle, qui a initié son déclin au moment même où elle prenait le nom d’« Éducation nationale » ? Comment expliquer la dégradation accélérée survenue à partir des années 1970, faisant de l’école française une « fabrique du crétin » ne méritant plus que les derniers rangs dans les comparaisons internationales ? Le présent ouvrage tente de répondre à ces questions avec la précision historique requise. On comprendra alors pourquoi il convient aujourd’hui de remettre en cause non seulement l’organisation de l’Éducation nationale, mais son principe même, c’est-à-dire son monopole. Ce n’est pas au moment où la compétition scientifique, technologique et économique redouble, où se profilent d’effrayants risques de guerre, que le système scolaire et universitaire français peut se permettre de décrocher par rapport à ceux des pays concurrents.