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Non, répond Thierry Jeantet, les mutuelles, les coopératives et les associations – donc l’Économie sociale – montrent qu’il existe une façon plus solidaire de créer des richesses aussi bien dans la sphère marchande que dans la sphère non marchande. Partout en Europe, on trouve des entreprises, des organisations dans lesquelles prévalent le principe de non-domination du capital et celui du contrôle démocratique : il y aurait d’ailleurs 248 millions de membres de coopérative, de mutuelle ou d’association sur 370 millions d’habitants en Europe ! Ces structures agissent dans les domaines les plus divers : social, culturel, financier, agricole, industriel ou de la pêche… Elles sont encore trop mal connues. Face à de grands défis comme la mondialisation, la transformation du travail et la crise sociale, elles représentent une chance particulière de voir établies les conditions d’une croissance à dimension humaine et, au-delà, de changer la donne en affirmant la primauté du civique et du social sur l’économique et le monétaire. Pour cela, elles doivent à la fois renforcer et moderniser leur identité, faire fructifier leurs propres principes (démocratie, non-lucrativité, solidarité, recherche du meilleur rapport qualité-prix, épanouissement de la personne, etc.), et donc innover. L’auteur campe le paysage de l’Économie sociale sans en esquiver les ombres. Surtout, il en présente une vue dynamique et prospective. À partir de propositions concrètes, il en fait une alternative au système dominant. Il montre que les citoyens acteurs doivent jouer un rôle déterminant dans l’émergence d’une Europe différente, plus attachante, à nouveau porteuse d’avenir. Il prône un peu plus de démocratie en toutes choses.