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Pendant les dernières décennies du XXe siècle et les premières années de celui-ci, la violence contre les écoles a été considérée comme une anomalie concentrée sur quelques pays en mal de développement. Depuis lors, il a malheureusement fallu constater que cette barbarie n’était l’apanage d’aucune région du monde, d’aucun hémicycle et qu’elle prospérait sans frein là où elle n’était pas contenue. Les contributions rassemblées dans ce volume concernent essentiellement les pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale. Elles sont toutes basées sur des enquêtes rigoureuses de terrain. Elles mettent en lumière les manières dont les États et les populations tentent de s’adapter et d’assurer autant que faire se peut une scolarisation aux enfants dans les situations les plus difficiles. De manière corrélée, elles montrent comment les paysages éducatifs se recomposent. Cet ouvrage prend acte de l’impossibilité d’imposer un même modèle d’école formelle à tous les pays : s’il a pu être efficace dans des cadres organisés par un État omniprésent, il n’a aucune résilience dans d’autres cadres. Il ouvre aussi la question de la manière dont les indispensables interventions des organisations internationales pourraient être rendues plus efficaces.