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Yvan Audouard avait décidé de mettre Antoine le Vertueux à la retraite. Citoyen modèle, bon père, bon époux et bon contribuable, Antoine vivait entre les siens le reste de son âge. Il estimait en avoir assez fait aussi bien pour son propre confort que pour le salut de la veuve et de l’orphelin. Mais la vertu est de tous les vices, le plus incurable. On a beau s’en croire complètement désintoxiqué, on est toujours à la merci d’une rechute. Et c’est précisément à une rechute d’Antoine que nous assistons dans Le Vertueux monte à Paris. Devenu un parfait honnête homme, le Vertueux découvre soudain que les honnêtes gens sont des êtres abominables. Alors une fois de plus, il part en guerre. Et, cette fois, contre des gens beaucoup plus redoutables que les gangsters : contre les Chevaliers de l’Immobilier, plus communément appelés "promoteurs". Il finira bien sûr par l’emporter. Car la Vertu l’emporte toujours, sinon il n’y aurait plus de morale. Mais, ça ne fait rien : "quand le bâtiment va... rien ne va...".