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Les cambriolages sont en augmentation dans notre actualité quotidienne et font souvent les titres des informations. Devant le risque de banalisation, nous souhaitons montrer que derrière le vol d’objets ou d’argent, il y a une véritable blessure psychologique individuelle et familiale. Il serait préférable de parler de stress post-traumatique comme pour les victimes d’attentats. En effet l’effraction de son habitation renvoie à l’importance pour l’être humain d’avoir un territoire privé sur lequel s’étaye un sentiment psychique d’être « chez-Soi». L’effraction de l’habitat provoque des failles psychologiques sur le sentiment d’intégrité de l’image du corps de la famille, perturbe les repères identitaires de chaque individu. L’enveloppe psychique du Moipeau familial devient hémorragique. Chaque famille sera impactée selon sa structure inconsciente et ses mécanismes de défenses et réagira selon ses capacités de résilience. C’est à un véritable processus de deuil que la famille devra travailler. Comme souvent chez les victimes d’agression, le groupe familial est confronté aux sentiments de honte et de culpabilité ou plus silencieusement à des symptômes comportementaux et psychosomatiques. L’ouverture de cette étude met en lumière la dynamique inconsciente de la famille face aux catastrophes de la vie, et les capacités d’auto réparation que les pratiques psychothérapiques utilisées par les psychologues, ou tous les intervenants auprès des familles, peuvent réactiver. Le but n’est pas que de survivre après le trauma du cambriolage, mais de revivre une vie nouvelle au-delà de la cicatrice.