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Théâtre des variétés ? L’expression date du Premier Empire, et se rapporte à un théâtre dont le répertoire était surtout composé de bouffonneries, de vaudevilles. En effet, ce recueil de textes révèle un homme qui, comme on dit, n’engendrait pas la mélancolie et ne s’en cachait pas. Variétés ; on ne pense pas seulement au music-hall avec ses acrobates et ses jongleurs, mais aussi à des significations plus « relevées » : Recueil contenant des morceaux sur des sujets variés. André Wurmser n’était pas un homme à se draper dans l’attitude « noble », ni à laisser quelque chose comme un testament intellectuel. Ce livre n’est donc pas son testament. Celui qu’on retrouve ici, c’est le pamphlétaire et l’homme de réflexion politique, c’est le rationaliste qui ne méprise jamais la conviction profonde, mais fait peu de cas de la crédulité, et dont le poil se hérisse au spectacle de tous les cléricalismes, c’est le penseur sans prétention et sans raideur dont une des « occupations » préférées est l’aphorisme et la maxime, c’est le maître de la fiction brève des Kaléidoscopes, de la nouvelle « travaillée », agencée soigneusement en vue de la pointe finale, c’est aussi (un peu) le romancier celui d’Une fille trouvée qui, son académicien étant toujours « vert », en profite pour publier ses Carnets. Ce qu’on retrouve enfin, pour notre plus grand plaisir, c’est une écriture faite de gouaille, d’esprit acéré, de précision de la pensée.