Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Après En même temps, toute la terre et tout le ciel, Grand Prix des lycéennes de Elle, et Le Fardeau tranquille des choses, lauréat du Women's Prize for Fiction, Ruth Ozeki poursuit son œuvre fascinante, qui emprunte autant à la poésie, à la philosophie zen qu'à l'école japonaise du I Novel, pour nous offrir un texte intime, inspirant et puissamment réconfortant. Transposant un exercice proposé par un professeur d'histoire de l'art à ses étudiants face à un tableau, Ruth Ozeki est devenue sa propre œuvre d'art. Elle a ainsi décidé de passer trois heures devant un miroir à étudier son visage. De cette contemplation vont remonter toutes sortes d'émotions et de souvenirs. Car tout en elle est mixte : les traits de son visage hérités de sa mère japonaise et de son père américain ; le bouddhisme zen transmis par ses ancêtres maternels mêlé à la rigueur des Jumpers de sa famille paternelle, une secte chrétienne conservatrice ; le regard porté sur elle dès l'enfance, tantôt d'une bienveillante curiosité, tantôt hostile et raciste ; sa culture, ses expériences de vie... Ruth Ozeki observe le temps sur son visage. Et voit se dessiner derrière les premiers signes de l'âge l'esquisse d'un temps universel, paradoxal, qui n'appartient qu'à nous et nous situe pourtant au cœur de l'humanité.