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La question du temps se pose dans de nombreux débats contemporains : multiplication des crises liées à l’accélération du temps, contradictions entre des décisions de court terme pour répondre à des enjeux de long terme, impuissance des politiques publiques face à l’incertitude… Pour les éclairer, le présent ouvrage propose de croiser les points de vue en économie, géographie, histoire, sociologie, linguistique, afin de prendre en compte la pluralité des temporalités et les défis de leur mesure. L’idée de temporalités plurielles est devenue rapidement consensuelle en sciences sociales. Les temps de l’homme sont divers et ne sont pas ceux de la nature. Le changement climatique interpelle la capacité des politiques à s’en saisir. Les horizons temporels des précaires sont différents de ceux des règles et institutions. Pour aborder ces questions, la première originalité de cet ouvrage réside dans la place particulière accordée à l’économie et au dialogue qu’elle instaure avec les autres sciences sociales – notamment ici, la sociologie. Une deuxième originalité est la mise en avant du rôle des institutions et des politiques dans la synchronisation des temporalités de la vie sociale. Représentants élus, tiers secteur, hauts fonctionnaires, médias, intervenants de terrain… tous contribuent à la définition et l’application des politiques publiques en ayant aussi, des rapports pluriels au temps. Une troisième originalité de l’ouvrage découle de la volonté de relever le défi de la mesure. Une de ses conclusions importantes est qu’il est possible de prendre au sérieux la pluralité des temporalités dans les sciences sociales, tout en relevant le défi et les exigences, à la fois épistémologiques et méthodologiques, d’avoir des objets d’études « mesurables ».