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Si « classique » signifie « qui a l'autorité d'un modèle » et dès lors ne vieillit pas, Le Soliloque de l'âme mérite bien le titre de « classique de la spiritualité », même si cette oeuvre de Thomas a Kempis (1380-1471) est moins connue que l'Imitation du Christ. Il est le plus insigne représentant de la dévotion moderne, ce mouvement spirituel né aux Pays-Bas vers la fin du XIVe siècle. Pour Thomas a Kempis, la contemplation est affaire d'amour plus que d'intelligence ; il tourne les âmes vers la méditation de la vie de Jésus et vers son imitation par la pratique des « vraies vertus », comme l'humilité, le renoncement, l'obéissance. Il conduit à une chaude piété d'union à Dieu, dont Le Soliloque de l'âme fournit comme un guide. L'excellente traduction ici rééditée est due à Dom Émile Assemaine (1862-1949), moine et prieur de Saint-Paul de Wisques (Pas-de-Calais), très aimable religieux, au coeur aussi vaste que son intelligence. L'introduction explique comment ce moine français fut amené à s'intéresser à la spiritualité des Pays-Bas. Pour cela, elle évoque la féconde période de vingt ans (1901-1920), pendant laquelle les moines et les moniales de la Congrégation bénédictine de Solesmes durent chercher à l'étranger la liberté de vaquer à Dieu et de le louer, selon leur vocation.
Né près de Cologne (Allemagne), Thomas a Kempis entre au monastère des augustiniens du mont Sainte-Agnès près de Zwolle (Pays-Bas) au début du XVe siècle.