Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Il arrive que la transmission du récit familial se grippe, que les silences d'un album de famille parlent autant que la légende. La quête des descendant·es, le droit de savoir et celui de se taire sont ici questionnés, autant que la position de " professionnel·les ", archivistes ou historien·nes qui se trouvent parfois aux prises avec ces secrets de famille. Bien des enfants s'interrogent sur l'enfance de leurs parents. Il arrive que la transmission du récit familial se grippe, que les silences dans l'album de famille en disent plus long que la légende des photos, que les bribes de l'histoire cachent davantage qu'elles ne dévoilent. N'y a-t-il pas des enfances plus difficiles à raconter que d'autres ? Des enfances que les adultes qui les ont vécues ne peuvent ou ne veulent partager ? C'est souvent le cas de certains enfants abandonnés, maltraités, rebelles, violents, corrigés ou enfermés, dont l'itinéraire est émaillé de jugements et de placements en institutions. À leur tour, les historien·nes peuvent être confronté·es aux interrogations des descendant·es. Dès lors, le droit de savoir et celui de se taire sont questionnés, autant que la position des " professionnel·les ", archivistes ou historien·nes, interprètes des traces du passé, qui se trouvent parfois aux prises avec les secrets de famille. Comment naît ce désir de comprendre ? À qui s'adresser ? Quelles traces retrouver ? Une fois le récit reconstitué, quelle place donner aux éventuelles découvertes qui transforment, contredisent ou bousculent le roman familial ?