Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Voici le deuxième volume de la tétralogie, Le roman des Artistes, qui raconte, de 1820 à 1885, la vie de tous les grands créateurs depuis la révolution romantique jusqu’aux pastels de l’impressionnisme. Le cadre historique de ce deuxième volume, qui court de 1847 à 1860, est rythmé par les révolutions de 1848 et les changements de régimes politiques qui déterminent la vie des artistes engagés, condamnés pour les uns à l’exil (Hugo réfugié à Bruxelles puis à Jersey, enfin à Guernesey), pour les autres à la censure (le procès de Flaubert pour Madame Bovary et de Baudelaire pour Les Fleurs du mal), tandis que d’autres encore jouent un rôle historique de premier plan (Lamartine proclame la Deuxième République en 1848, Tocqueville siège à l’Assemblée, Dumas, Balzac et Eugène Sue se présentent aux élections…) Les querelles esthétiques redoublent ici les révolutions politiques. On retrouve dans cette décennie les écrivains du premier tome (Dumas, Hugo, Balzac, Lamartine, Musset, Vigny, Mérimée, Nerval, George Sand, Théophile Gautier, Chateaubriand, Baudelaire, auxquels s’ajoutent Flaubert, les frères Goncourt, Louise Colet…). Côté peinture, Delacroix et Ingres sont rejoints par Corot, Millet, Courbet… Nadar incarne les débuts de la photographie… Autant de personnages de chair et de sang dont nous partageons les combats, les amitiés, les amours passionnées, les querelles, les brouilles et les réconciliations, le génie et les bassesses. Et voici que tous ces artistes qui sont devenus pour nous des « classiques » quittent la poussière des étagères et des bancs d’école pour s’ébrouer au grand vent de l’Histoire, dans un tourbillon palpitant où ils inventent la presse et la littérature modernes, se battent sur les barricades, publient des pamphlets dévastateurs…