Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
« Il semblerait, dit Jacques Rueff, que l’Occident s’applique à mettre en œuvre ce précepte de Lénine : “Pour détruire le régime bourgeois, il suffit de corrompre sa monnaie”. » Comment admettre ce comportement de pays qui — tels les États-Unis — ont toujours lutté pour la libre entreprise et la liberté ? Aussi, ce livre s’attache-t-il avec passion à récuser une politique monétaire basée sur l’ « étalon de change-or », « les droits de tirages spéciaux » et « le recyclage des capitaux exportés ». Ce sont, pour Jacques Rueff, qui demeure l’une de nos plus hautes autorités financières, des médications destinées à parer aux manifestations du mal, sans s’attaquer à ses causes, et dont la dépréciation du dollar et du sterling, et l’explosion du système monétaire, le 17 mars 1968, ont amplement démontré qu’elles étaient illusoires. Jacques Rueff dénonce ici le grand péril d’une monnaie non convertible, véritable néant habillé en monnaie. Il voit, dans la politique qui y a conduit, le péché monétaire de l’Occident, un péché contre le bon sens et contre l’esprit.