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Homme d'État sans État... Nahum Goldmann tient à cette définition qui illustre bien le paradoxe de sa propre vie. Actuellement président du Congrès juif mondial, il a représenté les intérêts du peuple juif dans toutes les circonstances de sa tragique histoire moderne. Au fil des pages du Paradoxe juif, défilent des interlocuteurs qui s'appellent Mussolini, Ciano, Louis Barthou, Roosevelt, Harry Truman, David Ben Gourion, Konrad Adenauer, Willy Brandt, Henry Kissinger, Léopold Senghor, Hassan II, etc. Goebbels lui-même se rappela au souvenir de l'auteur, mais ce fut pour l'accuser de haute trahison et le dénaturaliser. Au demeurant, Nahum Goldmann ne se veut pas seulement chroniqueur. Non conformiste dans l'âme, il ne s'aligne pas souvent sur les positions officielles d'Israël, et ce livre de brillants souvenirs est aussi un essai de réflexion politique, courageux, voire audacieux, sur des problèmes aussi brûlants que la situation des juifs en U.R.S.S. ou le conflit du Proche-Orient. Dans un domaine où la prudence diplomatique masque trop souvent une certaine hypocrisie, un homme libre parle en toute liberté. Le Paradoxe juif n'a pas fini de susciter des commentaires...