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Publié en 1901 par un auteur anglais reconnu d'abord pour sa précocité puis sa prolixité, Le Nuage pourpre représente une arrivée sidérante dans le monde de la littérature avec sa vision post-apocalyptique illuminée, celle d'un homme absolument seul, survivant à un désastre absolu et maître d'un monde qu'il décide de brûler méthodiquement. Mais si le héros se nomme Adam, c'est bien que... Sans équivalent, ce roman, trop mal connu et jamais édité en grand format en France, emballera les amateurs de cette littérature des extrêmes, des hallucinations d'un temps où penser la fin se faisait encore avec des précautions. Miraculeusement, ce livre a vieilli de manière unique. Un manque éditorial à combler d'urgence. Une œuvre aussi émouvante que fascinante.
"Au cours d'une carrière littéraire qui s'étend de la fin des années 1880 aux années 40, Matthew Phipps Shiel dit M.P. Shiel (1865-1947) écrivit vingt-cinq romans et plus de soixante nouvelles. Malgré l'ampleur de sa production, les amateurs de fantastique le connaissent surtout comme l'auteur d'un seul livre : Le Nuage pourpre (1901), classique visionnaire du roman de science-fiction, domine toutes ses autres œuvres." Roger Dobson in Le Visage vert, n°6