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L’ENA joue un rôle certain dans ce roman avec la quête de l’ambition pour une famille, constituée autour d’une femme qui a su profiter de l’ascenseur social pendant les « trente glorieuses », et est parvenue, par et grâce à la fonction publique, à un poste de cadre supérieur, ceci sous la présidence de François Mitterrand (1983) et du gouvernement Mauroy. Cette femme a « poussé » son mari et son fils, Stéphane, le narrateur, et personnage principal. Stéphane est sorti administrateur civil de l’ENA, il a une compagne qui semble lui convenir, et qui lui a fait découvrir la chorégraphie. Mais Stéphane est en contradiction avec le monde professionnel dans lequel il évolue, et n’est pas un modèle d’équilibre. Il compense son mal-être par des incursions hebdomadaires dans les Hautes-Vosges, où il a fait construire un chalet. Saura-t-il profiter de ses randonnées, de la pratique de la peinture, pour se forger sa propre voie ou restera-t-il clos dans sa névrose ? C’est ce chemin incertain que Le miroir du frac nous amène à découvrir. C’est aussi une élégie à une nature bienfaisante et une esquisse de personnages qui habitent les Hautes-Vosges. La fin du récit peut sembler pessimiste ; elle est en réalité ouverte.