
Sous la IIIe République (1871-1940) la Corse a envoyé à l'Assemblée nationale ou au Sénat onze représentants d'origine continentale. Ces « candidats exotiques », selon la terminologie de l'époque, battus dans leurs circonscriptions, retrouvaient un siège grâce à la complicité et à l'appui des chefs de clan locaux voire du gouvernement.
Ainsi l'île vient au secours des personnalités continentales et voit duc, baron et ex-ministres s'abattre dans ses circonscriptions. On sait, depuis, que la Corse ne retira aucun bénéfice de ces élections dont certaines acquises au mépris des urnes.
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