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Le professeur Bergeret se réfugie dans les livres depuis que sa femme le trompe avec un élève. Décidé à la torturer moralement, il ne converse dorénavant qu'avec son libraire. Il parle avec amertume de son mariage, de justice, de philosophie, de scandales politiques — et de ses contemporains aussi « chimpanzés » que corrompus. Alors que Bergeret est envahi par l'orgueil et le pessimisme, sa vie est une souffrance que seule une séparation totale avec sa femme pourra faire cesser.
Second tome de « Histoire contemporaine », le roman fait la satire de cette fin du XIXe siècle, où la politique déchaine ses incohérences, abreuve les guerres et nourrit la société bourgeoise. D'une plume joyeusement sarcastique, Bergeret est tour à tour dédaigneux d'un monde décadent, et blessé dans son orgueil.
Anatole France (1844-1924), fils de libraire, baigne dès sa jeunesse dans la littérature. Il aime la poésie, s’y essaye, mais s’oriente progressivement vers la prose. Il commence sa carrière professionnelle comme bibliothécaire au sénat, et devient critique littéraire. Ses premiers succès n’arrivent que tard avec « Le Crime de Sylvestre Bonnard », en 1881. Progressivement, il s’oriente vers des écrits politiques. Il s’intéresse par exemple à l’Affaire Dreyfus, au côté d’Emile Zola. Ses engagements ressortent dans les quatre tomes de « Histoire contemporaine », et il y décrit les problèmes de son époque. Il s’engage aussi pour la reconnaissance du génocide arménien.