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Le siècle a été traversé par le communisme et par le nazisme. L'un tombe aujourd'hui dans l'oubli, pendant que le souvenir de l'autre brûle dans un feu perpétuel. Cette inégalité dans la mémoire étonne et demande explication. Il faut donc comparer les deux systèmes dans ce qu'ils ont de comparable, et ne produire que des faits qu'un même tribunal puisse connaître. Alain Besançon fait porter la comparaison sur la destruction dont communisme et nazisme sont la cause : celle des hommes dans leur corps, leur intelligence, leur moralité, leur vie sociale et politique. Il prend pour étalon le crime le plus extrême : la destruction des Juifs d'Europe. Ce livre fait descendre par degrés dans une nuit que les lumières de l'histoire positive éclairent faiblement, parce que l'humanité n'a pas l'expérience d'un crime semblable. Le recours à la théologie s'impose d'autant plus naturellement ici que la plupart des grands témoins ont crié vers le Ciel. Alors se pose la question aujourd'hui si lancinante de l'unicité de la Shoah. Alain Besançon donne ses raisons de l'admettre sans réserve, même s'il doute que les hommes puissent s'accorder sur une interprétation unique de cette unicité.
Membre de l'Institut, Alain Besançon est l'auteur de plusieurs ouvrages renommés, notamment Le Tsarévitch immolé (1967, rééd. 1991), Les Origines intellectuelles du léninisme (1977, rééd. 1986), L'image interdite : une histoire intellectuelle de l'iconoclasme (1994).