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Les biographes de Montherlant ont révélé la falsification de la date de naissance d'un auteur, né en 1895 et non en 1896. Dans l'esprit du grand public, le recul dans le temps est encore plus grand et l'auteur de La reine morte paraît plus que centenaire. La consécration précoce d'une œuvre trop vite institutionnalisée s'est retournée contre elle ; les révélations sur la vie privée de l'homme ont fait le reste. On reproche désormais à Montherlant d'avoir manqué son existence et son œuvre, d'avoir mis en particulier trop de théâtre dans sa vie, et trop peu de vie dans son théâtre. À la faveur d'un timide retour en grâce dans les commémorations et les programmes d'enseignement, s'amorce peut-être néanmoins une possible réhabilitation, non d'un idéologue, que Montherlant n'a jamais voulu être, mais d'un grand écrivain, injustement décrié aujourd'hui. S'attachant à la pièce célèbre, qui a fait la réputation du dramaturge, La reine morte, pièce inaugurale (ponctuellement comparée à la pièce finale en pourpoint qu'est Le cardinal d'Espagne), cet ouvrage se propose de montrer, à travers l'examen d'une série de questions théâtrales, qu'il y a là, sans doute, un répertoire à redécouvrir. Refusant d'écrire l'acte final de ses pièces, Montherlant a laissé entendre qu'il n'avait peut-être pas dit son dernier mot.