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Chisinau, en République de Moldavie. Lastocika, jeune moldave de sept ans, est adoptée dans un orphelinat par une marchande (plutôt ramasseuse) de bouteilles en verre d'origine russe, Tamara Pavlovna. La fillette découvre avec joie et étonnement une nouvelle vie. Elle va à l'école, apprend le russe alors qu’elle préfère le moldave et lorsqu’elle écorche les mots russes, elle est punie. Mais Tamara Pavlovna veut-elle lui offrir un avenir prospère ? Ou l’exploiter comme main d’œuvre gratuite de façon aussi impitoyable que dans Dickens ?Avec ce nouveau roman Tatiana Tibuleac revient au thème maternel, à l’enfant aimé/non aimé, aux conséquences tragiques du manque d'amour, du remords, dans un livre aussi troublant que L'Eté où maman a eu les yeux verts.
Née à Chisinau (République de Moldavie), longtemps journaliste dans l’audiovisuel, Tatiana Tibuleac est une personnalité reconnue du monde culturel roumain. Dorénavant installée à Paris, elle y travaille dans la communication.L'Eté où maman a eu les yeux verts, son premier roman traduit en français, est paru aux éditions des Syrtes en 2018.