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De l’exil de Napoléon, on croit tout savoir. Et on part bien souvent du principe que, rendu à Sainte-Hélène, il était condamné à y mourir. Cette lecture a posteriori est partiellement fausse. En réalité, l’Empereur a longtemps pensé qu’il pourrait revenir et reprendre sa carrière où il l’avait laissée. D’ailleurs, il passait ses journées, entre stratégie et comédie, à susciter ce retour auquel il croyait tant. Il faut attendre 1818, soit trois ans avant sa mort, pour que les puissances européennes statuent définitivement sur son sort : il resterait à Sainte-Hélène jusqu’à ce que sa célébrité perdure, qu’il soit mort ou en vie. Cette décision retire à Napoléon la dernière chose qu’il lui reste : l’espoir. Commence alors une vie qu’il n’avait jamais expérimentée, celle, selon ses propres termes, d’un « homme et rien que cela ». C’est le récit de ces deux dernières années, quasiment jour par jour et heure par heure, que fait Michel Dancoisne-Martineau, le conservateur des Domaines français de l’île de Sainte-Hélène depuis 1987. Il dévoile un Empereur totalement méconnu, qui dépense désormais son temps et son énergie à la création et à l’aménagement d’un jardin qu’il conçoit dans les moindres détails, à la lecture, cette passion qui jamais ne l’avait quittée, même au sommet de sa gloire, à des promenades à cheval, à l’organisation et à la décoration de son intérieur, bref c’est un Napoléon pour ainsi dire « domestique », redevenu, pour la première fois depuis l’enfance, homme parmi les hommes, qui ne court plus ni après la gloire, ni après le pouvoir, que l’on découvre. Voici enfin révélée l’histoire la plus intime de l’homme le plus célèbre du XIXe siècle.