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L'idée d'écrire cet essai est venue à la faveur de voyages professionnels en Afrique. Simone Bernard-Dupré y découvre les traces enfouies de l'esclavage, celles des colonisations, et y perçoit les empreintes qui demeurent et demeureront gravées, tant que les esprits eux-mêmes n'auront pas été, selon l'expression d'Achille Mbembé, « décolonisés ». Ce « cri de l'Homme » est celui de l'Homme contre lui-même; il procède du sentiment que l'Homme est à la fois coupable du pire et capable du meilleur. L'auteur scrute les sources du Mal, et s'interroge sur les répercussions du Mal au plus profond du cur des bourreaux. Gardant sa foi en l'Homme, l'auteur s'interroge: l'Homme peut-il encore pousser un cri, un cri de révolte contre lui-même, un cri qui lui fasse retrouver son humanité perdue? Ce livre sera le point de départ d'un mouvement, d'un combat, pour que l'Homme émerge de son « dérèglement », selon l'expression d'Amin Malouf. L'auteur esquisse la voie de ces « retrouvailles » de l'Homme avec lui-même, au travers de Satprem, d'Etty Hillesum... Il y aurait tant de choses à dire et à faire...mais écoutez d'abord ce « cri ».