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Auschwitz n’est pas « seulement » la défaite de l’homme de ce temps, c’est la défaite de la possibilité même de l’homme. Un retour au tohu-bohu initial. À l’avant de tout langage. Et donc à sa mise en question radicale : échouée à ce point-là l’humanité n’a-t-elle pas perdu toutes ses possibilités de dire ? Si Auschwitz reconduit à l’avant-Verbe – à l’incapacité de nommer –, qui (quoi) peut désormais assurer de la possibilité du Verbe ? L’obstination à vouloir malgré tout « entrer dans le silence des 1 059 jours d’Auschwitz » va conduire Gatti – le contraindre – à instituer les Alphabets comme seuls personnages possibles de ce drame parce que cette abstraction est le seul moyen de donner une expression réaliste de ce que fut Auschwitz, de ce qu’il est. Si l’Innommable est la question d’Auschwitz – son drame de fumées et de cendres –, seuls les Alphabets sont à même d’en débattre – et peut-être de lui trouver une issue.