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Pour comprendre la dimension mondiale actuelle du capitalisme, il faut partir de l'univers des multinationales. Le phénomène de multinationalisation est donc exploré, sous toutes ses faces, qu'il s'agisse des firmes industrielles ou des banques : pourquoi elles investissent à l'étranger, comment elles organisent leurs activités à l'échelle planétaire. Ensuite, ces vecteurs de l'homogénéisation de l'espace mondial, du continu, sont confrontés aux États-nations qui sont, eux, des facteurs de différenciation, de disparité. C'est dans cette optique qu'est examiné l'impact de la multinationalisation sur la production, l'emploi, les échanges extérieurs, la diffusion de la technologie, la politique industrielle et sociale. Mais le simple face-à-face multinationales-États doit être dépassé. Il faut aller au-delà, pour saisir la réalité nouvelle qui émerge : l'économie mondiale. Celle-ci ne peut être conçue sur le mode de l'additivité. Elle est le produit dialectique de la dynamique de la mondialisation, et de la persistance du fait national. Dans cette perspective, la rupture avec les paradigmes existants de l'économie internationale, devient nécessaire. L'apport néoclassique et néomarxiste est remis en cause, les conceptions nouvelles sont passées en revue de façon critique, pour tenter d'élaborer une approche nouvelle de l'économie mondiale et de sa crise.