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Une femme peut-elle aimer son mari, son foyer, et céder soudain à une passion violente ? C'est ce qui arrive à Zelda, l'épouse d'un viticulteur du Midi, Laurent. L'homme qui fait irruption dans sa vie est un peintre, Marco, chargé de dessiner l'étiquette de la prochaine cuvée. Mais il y a un quatrième personnage, très singulier, Durieu. Il est écrivain, ce qui le rend tout à fait apte à devenir le confident, le veilleur, le voyeur. Cela n'empêche pas les sentiments personnels. Lui aussi aime Zelda. Saura-t-il devenir à temps le deus ex machina qui va tout remettre en ordre ? À sa manière, comme dans Terrass Hôtel ou dans Le Sémaphore, Jacques Almira nous fait toucher du doigt l'aliénation des êtres. Il nous montre que rien n'arrive comme on le souhaite. Son art de créer des fausses pistes, son sens de la dérision nous montrent que la passion, le malheur, le bonheur, surgissent toujours sans avoir été convoqués.