
On avait bien expliqué, on rêvait. On rêve peut-être encore d’un monde des transports terrestres blanc et noir. D’un côté le transport public administré, de l’autre le transport privé, voiture et « modes doux ».
Les ressources financières s’amenuisent, les opérateurs se trouvent de plus en plus pris dans les « ciseaux » des recettes de trafic qui stagnent et des charges qui augmentent.
La solution ne viendrait-elle pas d’un transport public/privé, d’une mutualisation, de la voiture individuelle sous-occupée, bientôt autonome, et des partages divers en complément, en remplacement d’une partie du transport public administré ?
Mais qui prescrira alors, et à qui reviendra la création de valeur ?
Le jackpot reviendra-t-il à l’opérateur industriel, à l’organisateur qui fournit les « tuyaux » de la commande et du back office aux co-voitureurs aux locations diverses, aux trajets en bus, en métro ? Ou aux intermédiateurs qui organiseront les déplacements et s’imposeront aux opérateurs comme ils le font dans l’hôtellerie ? Sans oublier les bénéficiaires des profits annexes que promet le Big Data ?
Michel GALLET a publié deux ouvrages aux éditions Celse sur la relation client et le revenue management dans le transport terrestre, tente de passer en revue et d’apporter des éléments de réponse à ces questions, en s’efforçant de maintenir le cap dans le foisonnement des nouveautés du secteur.
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