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“Histoire troussée rondement, cette Auberge, aventure racontée à 170 à l’heure. On n’a vraiment pas le temps de souffler — et encore moins celui de se lever pour aller boire un verre. (...) c’est comme sur un toboggan, on a à peine le cul en haut, qu’on est déjà en bas, le haut étant ici la page 1 et le bas la page portant le mot Fin. L’Auberge, c’est un vrai téléfilm... Le thème : un homme important a disparu ; deux types le recherchent : un journaleux et son pote, chirurgien adepte du litron, qui rappelle le Pierre Brasseur des années 50. Pas de bla-bla inutile. Dès la page 2, voilà nos deux gars lancés dans leur aventure. Ça ne lambine pas... Je ne vais pas vous raconter l’histoire, mais disons qu’on assiste à une quête mouvementée, rapide comme dans un bon film genre thriller. Entrez illico dans l’Auberge en question. Restez pas devant la porte, y’a des courants d’air. C’est nettement plus plaisant à l’intérieur.” Pierre Siniac (préface). Et comme "L’écharpe bleue" est de la même veine du grand Malet, on peut — on doit — s’attendre à des moments de suspense et de délire tels, que votre plaisir en redemandera.