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En ce livre, Bernard Sergent rappelle d’abord une évidence souvent oubliée : les Étrusques avaient des cousins autour de la mer Égée, et c’est d’une partie d’entre eux qu’ils descendaient. Les Grecs les appelaient Tyrsènes, puis Tyrrhènes. L’auteur étudie ensuite leurs parentés culturelles avec les Minoens, les Mycéniens, l’Anatolie, et, plus loin encore, avec la Mésopotamie, car la civilisation étrusque a de nombreux points communs avec celle des fleuves Tigre et Euphrate. Au cours de ce voyage, Bernard Sergent tente de résoudre plusieurs énigmes autour des Étrusques. Il combat la thèse la plus répandue et la moins convaincante : les Étrusques étaient déjà italiens depuis un temps préhistorique indéfini… Il se sépare aussi d’une thèse minoritaire, mais fort répandue, d’une origine initialement indo-européenne de la langue étrusque, et il montre que celle-ci est apparentée en fait aux langues (formant une famille à elles seules) de l’est du Caucase. Le voyage permet de rencontrer le plus célèbre des Tyrsènes, Pythagore, de rendre l’histoire d’Énée aux Étrusques – venu de Troie, il aurait abordé les côtes d’Italie centrale, où l’archéologie montre que les tout premiers Étrusques seraient arrivés, à hauteur de l’île d’Elbe, à la fin du ixe siècle avant notre ère. Et, chemin faisant, l’énorme influence des Étrusques sur la première Rome est soulignée : par elle, nous sommes partiellement les fils des Étrusques.