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Après les émeutes canaques et la violente répression du gouvernement, quel avenir pour ce territoire fragilisé ? Renvoyant dos à dos indépendantistes et loyalistes, Patrick Roger esquisse une voie qui permettrait à la Nouvelle-Calédonie d’affirmer sa souveraineté dans la région Pacifique sans rompre les liens avec la France.
En mai 2024, Nouvelle Calédonie La tragédie anticipait l’explosion de violence qui allait dévaster l’archipel et provoquer une crise politique, économique et sociale sans précédent. Le bilan ? 700 entreprises détruites, 1/3 des salariés au chômage partiel ou total, des faillites multiples, des bâtiments publics, des infrastructures, des écoles saccagés. Et c’est sans compter les conséquences humaines, les morts, les blessés, la résurgence des tensions ethniques et du racisme. Jamais, depuis la guerre civile des années 1980, la Nouvelle-Calédonie n’a été aussi divisée. Il faut maintenant reconstruire, relancer l’industrie, réinventer un modèle économique et social, poser les bases d’un vivre-ensemble. Mais avec quels acteurs et pour quel projet ? Exhumant documents confidentiels et confidences des principaux acteurs politiques, Patrick Roger plaide en faveur d’une voie moyenne. Il y a urgence. Afin que la Nouvelle-Calédonie ne subisse pas une décolonisation brutale, comme l’Algérie des années 50 et 60.