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Depuis 2001, l'apparence physique fait partie de la liste des critères de non-discrimination en droit français. Ce choix répond à un fait sociologiquement étayé il existe des traitements défavorables fondés sur le simple aspect extérieur des individus. Ils trouvent leurs racines dans des biais pas toujours conscients, et produisent leurs effets dès l'enfance puis tout au long de la vie. Si les individus les ressentent fortement, ces discriminations n'en sont pas moins difficiles à objectiver, si bien que le droit est peu mobilisé devant les prétoires. Alors comment penser le critère d'apparence physique ? Ses contours doivent-ils être retravaillés afin que ses potentialités se traduisent devant les tribunaux ? La lutte contre les discriminations sur l'apparence physique risque-t-elle d'invisibiliser d'autres formes de discrimination (sur la base du sexe, de la couleur de peau, de la religion...) ? Autant de questions qui permettent de penser, dans la pluridisciplinarité, les rapports entre les faits et le droit pour lutter contre les discriminations.