Une pièce de théâtre, récemment écrite et jouée par une troupe de
l'Université de La Rochelle, a été construite sur un ensemble de
stéréotypes violemment antisémites. On y voit « le » Juif sous ses
différents masques : dominateur, profiteur, censeur masquant ses
turpitudes, esclavagiste de notre jeunesse, tirant tous les bénéfices
de la Shoah, et dont la religion n'est qu'un paravent...
Cette pièce, conformiste par ailleurs, serait tombée dans l'oubli si
toute une frange de l'opinion, en particulier universitaire et associative, n'avait pris fait et cause pour la troupe et les animateurs
des ateliers de théâtre, en invoquant notamment la liberté d'expression et la liberté artistique.
Michel Goldberg a tenté de dialoguer avec ces responsables, et
il analyse ici leurs arguments. Mais d'injures en manoeuvres de
diversion, de nombreuses attaques infamantes ont été menées à
son encontre, via le forum universitaire et des sites internet. Les
institutions en charge de la pédagogie et de la défense des valeurs
de la République ont laissé se développer un climat délétère à
l'université.
Ce livre analyse une dérive dangereuse de la pensée dans laquelle
la violence verbale et le discours haineux s'expriment avec une
totale désinvolture à l'université.
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