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Valentin a l’âge d’aller à l’école et n’a toujours pas de nom. Pas de nom, pas d’existence dans la Cité où sa mère et lui sont entrés par effraction avant que le régime de séparation relègue la multitude à son sort. Bien décidé à accomplir son ascension très haut, tout en haut, il est rattrapé par le passé de sa mère, les soubresauts de sa mémoire, les tremblements d’une société obsédée par l’ordre, la paix et la volupté. Par le réel et l’irréel. Par Arsène, surtout, que Valentin rencontre alors qu’il vient d’avoir vingt ans, et les garde-fous qui s’effondrent d’un seul coup. Jusqu’à la fin, on le suit dans une lutte féroce avec l’amour, la révolte, la vérité, ou plutôt avec les formes qu’ils ont prises dans une société qui en étouffe jusqu’au désir.
Entremêlant les voies du roman social, du récit d’apprentissage et de la dystopie, Diana Filippova nous entraîne dans un roman politique qui est aussi une histoire d’amour. D’une douloureuse beauté qui n’est pas sans rappeler celle de Martin Eden, la quête de Valentin tend un miroir à une société d’une monstrueuse bienveillance, où tout est permis et rien n’est possible.