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Pourquoi cet étrange discrédit qui frappe, en France, la politique ? Pourquoi ce mépris convenu envers les "politiciens" ou la politique dite "politicienne" ? Pourquoi "le" politique pour faire chic, "la" politique quand on veut signifier l'infamie de la chose ?
Cet inquiétant rejet, nous dit l'auteur, qui dirigea l'Union des étudiants communistes, traduit une sourde dénégation de la démocratie elle-même : quand l'art de gouverner est considéré comme une simple affaire de compétence, quand, entre l'Atlantique et le mur des SS 20, la conduite des nations est limitée à la gestion et au commerce, ce sont les droits élémentaires du citoyen que l'on nie. Il nous dit, encore, que la politique, avec sa grandeur et ses misères, avec sa noblesse et ses mesquineries, fait partie de ce qui nous préserve de la tentation totalitaire. Guy Konopnicki nous rappelle, enfin, que la liberté et ses droits n'existent que si l'on s'en sert, c'est-à-dire en faisant de la politique, en revendiquant ce bon et réel plaisir.