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Comme le constate Airparif chaque année, tous les polluants de l’air de Paris sont en très nette diminution. Certains, comme le dioxyde de soufre, le plomb ou le monoxyde de carbone ont même totalement disparu. Le bilan 2017 d’Airparif précise même que « les concentrations des particules fines les plus dangereuses, les fumées noires, ont été divisées par 20 depuis le milieu du siècle dernier, du fait des progrès considérables des industries, des immeubles et des véhicules ». S’il fallait d’ailleurs une preuve de leur disparition presque totale, elle serait apportée par la blancheur de Notre Dame, plus de vingt ans après son dernier ravalement. Pourtant, c’est au prétexte de la lutte contre une pollution devenue quasi-imaginaire que la Mairie de Paris paralyse la capitale par une politique qui ignore les besoins des Parisiens et des Franciliens. C’est cette politique néfaste que dénonce l’auteur. Mais aussi les stratagèmes, mensonges et forfaitures que mettent en œuvre les services officiels de l’environnement non seulement pour cacher aux Français que l’air des principales grandes villes de France est désormais pur mais surtout pour leur faire croire que la pollution s’accroît.