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L’humanité ne se nourrit pas que de pain ! Les affrontements permanents qu’a connus le monde chrétien depuis quinze siècles au moins (et on trouve quelques signes annonciateurs dans l’Ancien Testament) sur le péché et sur la grâce le montrent surabondamment. Si le Christ est mort sur la Croix pour racheter les péchés du monde, est-ce pour sauver toute l’humanité ?
Le baptême, qui efface le péché transmis de génération en génération depuis la faute d’Adam, suffit-il pour faire le salut éternel de tous, ou bien Dieu opère-t-il entre les hommes un choix – une « élection » – en vertu de critères qui relèvent de Lui seul ?
À peu près toutes les controverses théologiques qui ont agité le christianisme – occidental et dans une moindre mesure oriental – tournent depuis le IVe siècle autour de ces thématiques. On y trouve des figures illustres comme Augustin d’Hippone, Thomas d’Aquin, Luther, Jansénius, Pascal, mais aussi une foule de controversistes aujourd’hui bien oubliés, mais qui ont alimenté le dossier à leur façon.
À lire la synthèse passionnante et vivante de Bernard Quilliet, on se prend à penser que l’Histoire est faite d’événements, de guerres, de conquêtes, mais aussi que les idées également peuvent provoquer le bruit et la fureur.