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Les contributions de ce livre abordent - sous un angle spécifique, à savoir de la pratique analytique, autour du discours psychotique, du langage autiste, de l’hystérie, de la question de la psychosomatique - des aspects actuels de la civilisation. S’il y a de nombreuses contributions cliniques, même quand elles traitent de la violence dans la musique, cela se passe pour ne pas parler de la violence sous une acception générale et métaphysique. La portée de ces textes relève — justement — de la connexion avec la pratique analytique, et ils ne sauraient se traduire sous un mode analogique en un autre discours, sans une grave déformation. La psychanalyse n’a pas à dire tout sur tout, mais seulement quelque chose de spécifique, voire d’extrêmement partiel. Ce que Freud a introduit, c’est une exploration de la violence, de l’écoute de l’hystérie à l’analyse du monothéisme. L’hystérie lui a apporté avant tout cela : il y a un fantasme de violence, à savoir le fantasme de maîtriser le langage, d’exclure l’écriture en l’asservissant, de faire de la théorie une doctrine. Freud en est arrivé à considérer la violence comme pulsion, c’est-à-dire comme dualité infranchissable, le deux. D’un côté donc le rejet, de l’autre la résistance, deux fonctions constituant une spirale sans point fixe et, par là, sans aucune référence à l’immobile, qui — en Italie — est la référence majeure pour que tout changement laisse les choses comme avant.