Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Le premier essai inédit de Charles Gave depuis 10 ans. Le 9 novembre 1989, le mur de Berlin s'écroule. Peu de temps après l'Union Soviétique est dissoute. La guerre froide est finie, l'économie de marché et la démocratie l'emportent sur la technocratie et le totalitarisme. L'avenir s'annonce tout à la fois paisible et prospère. Trente-quatre ans plus tard, où en sommes-nous ? La guerre a ravagé la Serbie, l'Irak, la Syrie, le Yémen, la Libye, le Soudan et fait rage en Ukraine et au Moyen-Orient. Les situations financières de bien des pays (dont les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne) sont désespérées, partout en Occident les peuples grondent, le système monétaire international fondé sur le dollar est remis en question, l'écart des revenus s'est creusé comme jamais entre les plus riches et les plus pauvres... " Et je ne peux pas m'empêcher de me demander : mais que s'est-il produit en un peu plus de trente ans pour que nous soyons passés de ce qui apparaissait comme des matins qui chantent à ce crépuscule sanglant dans lequel nous nous enfonçons ? C'est à cette question que je vais essayer de répondre." Charles Gave