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Comme le dit Jean Dutourd, « une tribu d’hommes portant des plumes sur la tête » campe sur le quai Conti depuis plus de trois siècles. C’est l’Académie française. Un mystère l’enveloppe. Elle intrigue. On l’admire et on la désire. On la dénigre aussi quand on n’a pas la moindre chance d’en faire partie ou quand on ne songe pas encore à en briguer les suffrages. Bref, elle ne laisse jamais indifférent. Que faut-il faire ou ne pas faire pour y entrer ? Comment se passent les visites ? Quelles difficultés posent les discours, l’habit vert, l’épée ? Comment se déroulent les « jeudis » consacrés au dictionnaire ? Quelles charges incombent aux « hommes verts » en échange des honneurs qui les comblent ? Élisabeth du Closel a traqué les académiciens, épiant leurs manies, leur dispensant des retenues et des bons points, comme ils le font entre eux. Elle s’est entretenue avec dix-sept « hommes verts ». On le verra, les « immortels » ne sont pas tristes. Cela donne un livre piquant avec, dans l’humour, un zeste d’impertinence qui n’agacera que ceux qui se prennent trop au sérieux. Des dessins de Trez accompagnent la promenade d’Élisabeth du Closel au sein de cette compagnie dont le sang perpétuellement renouvelé nourrit constamment l’actualité.