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Avec une plume toute à la fois tranchante et intimiste, Marie-Élaine Guay s’efforce, dans ce deuxième recueil de poésie, d’explorer sans ambages les souterrains de l’expérience de la maternité. La sortie est une lame sur laquelle je me jette embrasse, sans ordre de grandeur, l’amour foudroyant et la funeste fatigue des « femmes de notre siècle/[qui]/tombent comme des mouches/dans la pénombre des jardins ».
Déployés dans un effet de miroir, les poèmes arpentent ainsi deux parcours maternels distincts, mais assurément liés : une mère vacille à travers les obstacles, la peur et l’anxiété rattachés à son nouveau rôle, mais s’accroche à la lumière de l’enfant « afin de voir percer, du plus majestueux de l’amour, ces éclairs veufs délestés de leur fosse ». Une autre ploie sous les responsabilités et les impératifs alimentaires avant de s’enfoncer dans les racines de son attachement. Toutes deux sont en quelque sorte les facettes d’une même médaille pendue au cou de toutes les femmes que le devenir mère propulse dans la fragilité, mais surtout dans la force vive.