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L'analyse de la relation entre travailleurs et emplois comporte des aspects concernant l'efficience : adéquation des capacités de l'homme à celles que son travail requiert ou bien adaptation de la situation de travail à l'homme qui l'accomplit. Cette analyse ne peut être complète que si l'on prend en compte des aspects affectifs liés soit à la tâche, soit aux autres facettes de l'emploi : relations avec les collègues, le supérieur hiérarchique, la rémunération, etc. Des recherches faites sur le terrain, de plus en plus nombreuses, ont paru, depuis vingt ans au moins, sur ces questions de satisfaction, comme si la désaffection à l'égard du travail, résultat d'une érosion des idées religieuses et des idéologies qui le valorisent dans la vie de l'individu, les rendait de plus en plus nécessaires de nos jours. Sur quoi peut-on encore fonder un attachement au travail dans cette crise que la jeunesse n'est pas seule à connaître ? C'est à cette question que Robert Francès tente de répondre. Il le fait dans une optique symétrique de celle de la Psychologie des organisations, c'est-à-dire en partant des différentes variables du rôle de travail pour aller non pas vers le contexte social des entreprises, mais vers les différences individuelles de tous ordres qui, pour le même emploi, entraînent des variations importantes d'attitude.