Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Août 1944, la libération de la France bat son plein. Dans un village près de la Saône, au début du mois d’août 1944, Pauline Raynaud et sa nièce Marine décident de quitter leur village natal pour Paris. Marine vient de perdre sa mère, accusée d’avoir couché avec le fils d’un collaborateur, Félix Larroque, et fusillée par la section locale de la Résistance dirigée par un mystérieux homme au chapeau. Débarquant le jour de la libération de Paris dans la capitale, la tante et la nièce croisent la route de Pierre Mascin, un jeune homme qui les accueillera chez lui, où passe en coup de vent le Grand Maurice, qui laisse en dépôt une sacoche noire, avant son arrestation par un escadron des Forces françaises libres. À l’intérieur de la sacoche, outre les billets de banque, il y a des actes de propriété vierges d’une banque d’affaires : la Banque générale de commerce français. Albert, un ami de Pierre qui joue le rôle de père auprès du jeune homme, propose à ce dernier de saisir sa chance, et d’établir à leur nom ces actes de propriété de la banque d’affaires. Mais Pauline et Marine ne savent pas qu’en accompagnant les deux hommes à la banque, elles retrouveront, par le plus grand des hasards, l’homme au chapeau, alias Antoine Larroque, celui-là même qui a ordonné la mort de la mère de Marine, administrateur de la Banque générale de commerce français.