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Voici le dernier volume du grand cycle romanesque de Soljénitsyne sur la révolution russe, laRoue rouge. Avec Avril dix-sept s’ouvre le deuxième acte après la révolution de Février : « Le gouvernement du peuple ». Il couvre la période du 12 avril au 5 mai du calendrier julien (du 25 avril au 18 mai dans le calendrier grégorien). Le tome 1 s’arrêtait sur la victoire du peuple raisonnable de Pétrograd, uni pour soutenir le Gouvernement Provisoire après les affrontements sanglants provoqués dans les rues par des colonnes d’ouvriers armés. Le tome 2, qui s’ouvre le 23 avril (6 mai), montre la paralysie progressive et la décomposition de ce Gouvernement Provisoire, incapable de prendre le pays en main pour l’empêcher de glisser dans le chaos. En arrêtant là son récit, après quatre nœuds sur les vingt projetés, l’auteur explique : « Dès avril, le coup d’Etat d’Octobre se profile comme inéluctable. » Le résumé des seize nœuds non écrits constitue la seconde partie de ce dernier volume de la Rouerouge. Récit nerveux, saisissant. La première partie, qui forme l’essentiel du livre, est rédigée avec le souci de polyphonie et la force d’évocation habituels. Nous sommes tour à tour ce soldat, ce jeune officier, ce paysan, ce ministre. L’enthousiasme, l’amertume ou la perplexité se communiquent à nous. Il en ressort une extraordinaire leçon de politique, mais aussi une leçon de vie. Que faire dans les grands bouleversements de l’Histoire quand tout est emporté comme par une avalanche, quand la bonne volonté est bafouée et la raison impuissante, et qu’on assiste au naufrage de tout ce qu’on aurait voulu sauver ? Faut-il plier pour survivre ?