Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Si aujourd'hui l'Afrique sahélienne passe pour être l'une des régions les plus pauvres du monde, tel n'a pas toujours été le cas. Jusque dans les années 30, il n'est pas question d'évaluer les conditions de vie de populations africaines à l'aune de normes universelles. Il y a alors, entre les sociétés colonisées et celles qui ne le sont pas, une barrière d'incommensurabilité qui se pose dans des termes raciaux : Blancs et Noirs ne sauraient avoir les mêmes besoins biologiques ni les mêmes aspirations sociales. C'est le délitement progressif de cette barrière dont ce livre s'attache à retracer l'histoire, au Burkina Faso, au Mali et au Niger, de la fin de la période coloniale à la grande famine des années 1970.
Vincent Bonnecase est chercheur au CNRS, membre du laboratoire "Les Afriques dans le monde" (Bordeaux). Après avoir travaillé sur l'histoire de la pauvreté au Sahel, il consacre désormais ses recherches aux mobilisations sociales face à la faim dans l'Afrique contemporaine.